
Qui aurait pu imaginer le parcours personnel et exemplaire du président du club de football de Lunaret aux Beaux-Arts si une correspondante de presse ne l'avait interviewé ? Sans doute quelques proches, amis intimes mais assez peu d’habitants du quartier des Beaux-Arts même parmi celles et ceux qui, chaque semaine, lui confient leurs bambins.
Qui, parmi la population française, peut aujourd'hui se targuer d'appartenir à une communauté de personnes, une ethnie, une tribu de quelques centaines de membres sur la planète ? Très peu évidemment. Et s'il en existe, auraient-ils l'humilité, la générosité dont fait preuve chaque jour, à chaque instant, Jacques dans ses relations au sein du club de Lunaret ?
C'est donc une personnalité rare et attachante qui s'implique au quotidien dans notre quartier et qui mérite bien quatre colonnes dans la presse locale.